Le bac de Ralke : produits du terroir midi-pyrénéen...

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Astaras
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Re: La bac de Ralke : produits du terroir midi-pyrénéen...

Message par Astaras » ven. 24 avr. 2015 à 14:48

Ralke a écrit :Cela dit, je passais simplement demander une info, technique d'ailleurs, en rapport avec mon sable de Loire (Bulette m'a fait flipper tout d'un coup, en évoquant un lien éventuel avec ce substrat et les cyanobactéries.

J'ai vu qu'il y avait pas mal de bestioles, pour la plupart des mollusques voire quelques écailles, en exotique, pour aérer les sols et éviter entre autres choses, le stockage de bulles de méthane, le développement de cyanobactéries, etc.
Mais en régional (local), quid des bestioles pour le même résultat ?.
Moi j'ai pas de pb de cyano avec mes bacs (sable de Loire).

Dans celui où il n'y a pas de terreau, uniquement du sable de Loire, le sable est habité (hormis les mélanoïdes qui remuent la couche superficielle) par des blackworms (Lumbriculus variegatus). C'est du local, les miens, initialement, je les ai récupéré dans un fossé.
Ces vers vivent entièrement dans le sable, et sortent la queue s'il n'y a pas de danger. Ils se nourrissent des nutriments qu'ils y trouvent et chie dedans, enrichissent le sol. Ils descendent sur plusieurs centimètre (jusqu'au fond de mon bac) et aèrent donc très bien le sable même en profondeur.
Remarquons qu'autant j'ai toujours vu pas mal de bulles de gaz dans mon premier bac avec terreau (visibles contre la vitre), autant dans ce bac là je ne vois pas la moindre petite bulle.

Il doit y avoir les tubifex qui fonctionnent un peu pareil, mais je n'ai pas testé vu que je n'ai pas réussi à augmenter leur population lors de ma tentative d'élevage.


Edit: concernant la phrygane.
J'ai lu un article disant que dans les excréments humain il y avait de l'or (ainsi que plusieurs autres métaux précieux), dû à toutes les merdes qu'on ingurgite.
Vous pensez que si je mets des phryganes dans un bac et que je chie régulièrement dedans, je pourrais récupérer des bijous?

Ralke
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Re: La bac de Ralke : produits du terroir midi-pyrénéen...

Message par Ralke » sam. 25 avr. 2015 à 19:49

Astaras... Mon dieu, l'exploitation des pauvre' bêtes. Pour l'or, j'en ai lu un truc aussi, sur le monde.
Pour les vers que tu évoques, je prends note.

Ralke
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Re: La bac de Ralke : produits du terroir midi-pyrénéen...

Message par Ralke » sam. 25 avr. 2015 à 21:54

Scène de vie dans le bac, n°01 : "faim, j'ai toujours faiiiim..."


[ATTENTION : PAVE !]

J'ouvre le bac dans l'après-midi, histoire de nourrir les écailles avec les habituels cyclops et cladocères de l'un de mes trois (TROIS !) seaux bouillonnants de vie.

D'ailleurs, je trouve assez ennuyeux que ces fichus 6 supposés juvéniles de vairons me boulottent systématiquement toutes les mini-bêtes que je leur refile dans les 30 secondes du largage grand 'max. Entre le fait que les plantes n'ont pas encore assez d'envergure pour servir de micro escale entre le bac et l'estomac des poiscailles et la tendance qu'ont développé ces poissons censément farouches à se masser la gueule grande ouverte, juste en dessous du récipient de dinette vert pomme qui me sert de louche d'alimentation, la séance ressemble plus à une becquée qu'à des repeuplements massifs de cyclops.

Bref, à chaque fois j'ai l'image des poissons carnassiers qui essaient de boulotter Scratch dans l'Âge de Glace 2 (t'as vu la référence, Dédé ? si c'est pas du papa moderne ça...), mais je n'ai jamais vu un cladocère se la jouer ninja furieux pour filer une branlée aux vairons.

Or donc, je reste faire du désherbage dans la pelouse sauvage qui nous sert de no man's land entre la clôture qui protège nos terreurs de la berge ravinée et l'auvent qui abrite le bac, quand me vient l'idée de laisser ledit bac respirer un peu. Pas de risque qu'un oiseau vienne nous boulotter notre friture sous mon nez.

Je suis depuis une petite heure en pleine action, genre de loin j'ai la tenue de camouflage parfaite, avec plein de tiges de plantes accrochées à mes loques ; je fais une pause en lorgnant d'un œil mauvais les ronciers du fond qui se battent depuis le début du printemps avec les muriers, myrtilles, groseilliers et autres framboisiers.
Pis je me dis qu'une rallonge de mini-bêtes ne peut pas faire de mal aux juv', rapport au fait qu'ils sont en pleine croissance, s'pas ? Leur faut des protéines bio, toussa...
Dans la louche, cette fois, en plus du bouillon habituel, je récupère une énorme larve de moustique, plus grosse que la tête du plus jeune des poissons. Me dis que cette larve deviendra moustique avant que les autres gus soient en capacité de gober le truc.
Ts ts... elle n'a pas atteint la surface de l'eau que le comité d'accueil est déjà au garde à vous, et deux secondes plus tard, "il est où le magneau ?", la larve est déjà en phase de digestion dans le corps (je n'ose dire l'estomac) d'un des poiscailles, et pas le plus gros. J'ai été victime d'une illusion d'optique, parce que j'ai cru qu'au moment du gobage, la larve avait été pliée en quatre pour être avalée.

Bon, jusque là, rien d'extraordinaire. Erreur d'appréciation du débutant. Il paraît que la bouffe des poissons répond à peu près à la même règle simple qui veut que le chat passe n'importe où pourvu que la tête y rentre. Ben, pour le poisson, si le corps est plus gros que la proie, il paraît que la proie sera casée quelque part dedans, même si la bouche ne semble pas le permettre a priori. J'dis ça, j'dis rien, simplement, pour les chats, je confirme.

Bon, bon. Je m'avise qu'un débris flottant disgracieux trouble ma vision zen du bac. Je prends ma tige d'acacia flexible et m'apprête à retirer le truc souple et dégueu, te voilà-t-y pas qu'un des poissons commence à attaquer le bout de la tige ? Un microbe de même pas 4 cm d'envergure, de la poupe à la proue, qui mordille la tige !
Je ricane et hausse un sourcil devant les velléités de l'apprenti piranha, que les autres observent avec intérêt.

Je décide alors de pousser l'expérience plus loin. Comme dans tous les coins (semi)ruraux, les jours où il fait lourd, une carrousel de petites mouches nerveuses trompe l'ennui philosophique de leur espèce en tournant sous l'auvent, à la fraiche.
Ni une ni deux, je me saisis de la "papette", comme dit notre aînée, et j'en assomme à moitié une en plein vol.
Je la récupère.

[Avertissement : que les âmes sensibles s'abstiennent de lire la suite, constituée d'ultra violence gratuite et complaisante...]

Puis je la fais tomber négligemment dans le bac. La mouche a une dimension d'environ 40% de la taille du plus gros juvénile. A priori, la bouche du plus gros ne peut pas permettre l'ingestion.
Vous avez vu des western spaghetti, comme "Il était une fois dans l'Ouest" ? Quand les types s'observent des heures en se jetant des regards torves avant de dégainer comme l'éclair et de commencer la tuerie ? Bon, ben là, vous passez direct à la tuerie et vous y êtes.
Ce que j'ai vu distinctement, c'est qu'à un moment, à l'autre bout du bac, y'en avait un qui filait avec deux pattes de mouche qui lui sortaient de la gueule en lui faisant une moustache à la Dali, les 5 autres qui le coursaient pour tenter de lui dérober son repas déjà ingéré.
C'était même pas le plus gros, il faisait 3 cm environ.

J'ai repensé à certains du forum qui supposaient que j'avais pu récupérer des black bass... Franchement, pour moi ce sont des vairons, mais l'expérience m'a scotché, puis amusé.
J'ai recommencé l'opération un certain nombre de fois, sous l'œil mi intrigué mi réprobateur de ma chère et tendre, et les vivats de mes deux filles, sorties de la sieste en plein carnage et se tartinant consciencieusement le museau du chocolat du goûter.

Le must, c'est qu'entre deux festins de mouche, des bestioles volantes ont servi d'intermèdes volontaires et spontanés ; pour une fois que le bac était ouvert, ç'aurait été bête de pas y mourir dedans (adage de moucheron).

Nouvelle situation, nouvelle découverte : j'ai peut-être récupéré des poissons volants, en fait. Fallait les voir se masser comme des hystériques au dessous de la bébête puis sauter hors de l'eau pour essayer de la gober. Si le premier ne l'avait pas eu, le quatrième était bon. Cela faisait plic-ploc, avec les débiles qui sautaient comme des dauphins dans un parc d'attraction aquatique, pour un moucheron encore moins futé, qui après la troisième agression caractérisée venue des fonds marins, restait toujours là, à furieusement virevolter à quelques centimètres de la surface.

C'était grandiose, même si jusque-là, relativement prévisible. Mes bestioles ne faisaient que reproduire l'une des façons les plus communes de se nourrir en extérieur.

Non, la raison d'être de tout ce préambule, c'est la suite.

Imaginez la scène, moi hilare, indiquant à ma chérie indifférente que Salvador s'était réincarné en vairon furieux, pendant que mes deux filles couraient en tous sens en essayant d'attraper une nouvelle mouche pour faire "disputer les pitis poissons".

Soudain se fait entendre le bourdonnement caractéristique de basse fréquence d'une machine de guerre venue d'ailleurs, j'ai nommé le frelon asiatique, lui aussi attiré par le bac grand ouvert, promesse d'arrêt ravitaillement d'eau gratuit. On a de temps en temps la visite de ce genre d'importuns, quand on habite en bord de berge (Pour la petite histoire, la proximité d'un nid à moins de 5 mètres de soi est considéré officiellement comme un danger de mort).
En un mot, j'intime à mes filles de rester immobiles, comme pour "jouer à chat" - plus surprenant, cela marche, elles ne bougent plus -, puis je suis la trajectoire, vigilant et héroïque, du péril jaune (et noir). A la taille du machin, je confirme l'origine asiatique du frelon, et maudis un nouvelle fois, silencieusement, les espèces invasives en tous genres et particulièrement celles qui piquent.
Je regarde, fasciné, le frelon se rapprocher du bac.
Y'a des mouvements dedans, je le note d'abord distraitement, mais ça insiste, alors je défocalise le dalton et me concentre sur un banc de 6 poissons débiles, collés à la paroi du bac, en train de suivre chaque mouvement de droite à gauche du frelon, descendant en profondeur si l'insecte piqueur descend, remontant à la surface s'il fait mine de s'approcher de l'eau... Ces petits nerveux avaient exactement la même attitude que lorsqu'ils chassaient le moucheron tout à l'heure, malgré l'évidente différence de gabarit.

Un instant je me dis : "c'est pas vrai, ils vont vraiment essayer de se le faire, ce truc est 4 fois plus gros que le plus gros, mais ils vont sauter pour se le payer..." J'imagine déjà le saut de la mort improbable. Mais heureusement, le frelon ne s'approchera jamais suffisamment de la surface pour vérifier, peut-être perturbé par les mouvements bizarres de l'eau au-dessous de lui.

Le frelon parti, la pression retombe et je réalise que j'ai 6 petits Rambos dans mon bac, peur de rien, mais surtout d'indécrottables morfales. Bref, des créatures cartoonesques qui je le pressens vont me faire changer d'avis sur les petits poissons craintifs et leur régime alimentaire.

C'était l'épisode 1 du feuilleton "scènes de bac" ; à venir, "la fashion week des phryganes : plus de vert, que j'te dis !"...

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Lysemna
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Re: La bac de Ralke : produits du terroir midi-pyrénéen...

Message par Lysemna » sam. 25 avr. 2015 à 22:20

J'adore x)

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Re: La bac de Ralke : produits du terroir midi-pyrénéen...

Message par Roland13 » sam. 25 avr. 2015 à 22:50

Excellent :D c'est sur c'est des blacks que t'as :twisted:
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Re: La bac de Ralke : produits du terroir midi-pyrénéen...

Message par combattantdusiam » sam. 25 avr. 2015 à 23:23

Pavé César ! :mrgreen: :shock:
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Re: La bac de Ralke : produits du terroir midi-pyrénéen...

Message par Aurélien234 » sam. 25 avr. 2015 à 23:44

A la taille du machin, je confirme l'origine asiatique
Euh... J'dois prendre ça comment ?
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Re: La bac de Ralke : produits du terroir midi-pyrénéen...

Message par domi03 » dim. 26 avr. 2015 à 8:07

Ralke, quand est-ce que tu écris un roman sur tes poissons :D , tu aurais du succes :lol: C'est un pavé, certes, mais c'est bien écrit, et dans un livre ça passe mieux que sur un écran :wink:

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Re: La bac de Ralke : produits du terroir midi-pyrénéen...

Message par Bulette69 » dim. 26 avr. 2015 à 9:04

Rhaaa j'suis déçue ! Je pensais qu'ils le goberaient aussi, le "péril jaune" !
Vivement les aventures des phryganes. :lol:

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Re: La bac de Ralke : produits du terroir midi-pyrénéen...

Message par Ralke » dim. 26 avr. 2015 à 10:33

_ Aurélien : oh, de suite... non, la précision est pertinente dans le sens où l'asiatique est plus petit que l'européen. Ce n'était pas super évident à me lire, c'est vrai. Les couleurs des pattes et la présence de rouge ou non sur le dessus de l'abdomen peuvent aider.

_ Roland : tut tut, pas de black bass dans mon bac. Non, je suis de plus en plus certain que ce sont des juv' de vairons, à cause du museau. Mais les deux se ressemblent salement, pour sûr.

_ Domi : mouais, quel genre les romans : tranche de vie, picaresque, héroïc-fantasy ? J'suis pas bien sûr, là.

_ Bulette : franchement, tu vois un juv' de 3 cm gober un frelon de la même taille ? remarque, présenté comme ça... mon Dieu, qui sait ?
Pour les phryganes, faut que je voie la suite. A l'évidence, on a un génie de la mode précurseur des nouvelles tendances, et cette année, dans mon bac, ce sera fourreau de Lysimachia nummularia ou rien. Du coup, ladite Lysimachia ressemble de plus en plus à rien, elle, tronçonnée qu'elle est par les 3 phryganes sur les 4.
Et ouais, on a encore un no-style qui continue à faire de la résistance, fidèle au fourreau-brindille maronnasse de sa jeunesse.

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Re: La bac de Ralke : produits du terroir midi-pyrénéen...

Message par Guillaume_851 » dim. 26 avr. 2015 à 10:46

Sympa à lire :)

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Re: La bac de Ralke : produits du terroir midi-pyrénéen...

Message par domi03 » dim. 26 avr. 2015 à 13:30

Ralke a écrit :_ Aurélien : oh, de suite... non, la précision est pertinente dans le sens où l'asiatique est plus petit que l'européen. Ce n'était pas super évident à me lire, c'est vrai. Les couleurs des pattes et la présence de rouge ou non sur le dessus de l'abdomen peuvent aider.
Tu es nouveau, alors tu ne sais pas qu'Aurélien est aussi un asiatique importé, mais pas dangereux, celui-là! Ou alors, c'est moi qui n'ai pas compris vos vannes respectives :oops:

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Re: La bac de Ralke : produits du terroir midi-pyrénéen...

Message par Aurélien234 » dim. 26 avr. 2015 à 13:53

Pas dangereux ça reste à voir...
Toujours vivant, rassurez-vous, toujours la banane, toujours debout.

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Re: La bac de Ralke : produits du terroir midi-pyrénéen...

Message par Carine » dim. 26 avr. 2015 à 17:54

Es-tu sûr qu'il s'agit de frelon asiatique ? On m'a déjà confondu scolie et frelon.

Sinon ma cérato :
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Re: La bac de Ralke : produits du terroir midi-pyrénéen...

Message par Ralke » dim. 26 avr. 2015 à 23:10

>Carine : Mmh. Non. La Scolie est trop poilue et n'a pas les pattes de la bonne couleur. Pis cela fait quelques années que l'on "vit" avec le frelon asiatique, par chez nous, du coup ceux qui s'intéressent ont appris à le reconnaître.
Excellente photo, tu n'as pas fait les choses à moitié ! On dirait bien une très belle cérato.
Je viens de m'aviser qu'un autre forumeur se propose de m'en envoyer (la réactivité est dingue sur ce forum !) ; du coup, je ne sais trop, serais-tu disposée à m'en adresser ? (N'hésite pas à me dire sur ce sujet, le cas échéant, ou par MP)


> Aurélien : je viens de saisir, en effet ! :wink: Quand tu dis importé, c'est importé d'où, sans indiscrétion ?

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