Re: Au cagadou : toilettes sèches, seaux, litières, et cae(te)ra
Posté : ven. 22 déc. 2017 à 8:29
La problématique qui est mise en avant dans ce livre est entre autre les lieux "préservés" plein de touristes
-descente en rafting d'un canyon avec bivouac sur une île, 10'000 personnes par an (ça ne fait que 30 personnes par jour), pluviomètrie faible, aucune toilette ne peut être construite, risque de se retrouver avec des étrons et du papier partout, de polluer l'eau en cas de montée des eaux, etc.
-Manque de dégradation des déjections et du papier si c'est pas fait correctement
-Transmission de maladies
Au final, le top pour la dégradation et la limitation de l'impact visuel, c'est d'enterrer, la profondeur dépendant du type de sol, et de mélanger le papier à l'étron pour faire comme un compost (matière carbonée du papier et azotée du caca).
Le pire étant de mettre une pierre dessus, l'eau qui aiderait à la dégradation ne passe pas sous la pierre et bien souvent le dépôt sèche et met des plombes à disparaître.
Pour les plus "sensibles", on peut aussi ramener son papier et le mettre dans un sachet "merde de chien" et ensuite aux ordures incinérables.
Et quand on se balade beaucoup dans des réserves ou des chemins connus (imaginez le sentier Martel), c'est quand même nul de se retrouver face à un bout de papier rose qui orne un monticule brun... Non?
Autant faire ça du mieux possible!
-descente en rafting d'un canyon avec bivouac sur une île, 10'000 personnes par an (ça ne fait que 30 personnes par jour), pluviomètrie faible, aucune toilette ne peut être construite, risque de se retrouver avec des étrons et du papier partout, de polluer l'eau en cas de montée des eaux, etc.
-Manque de dégradation des déjections et du papier si c'est pas fait correctement
-Transmission de maladies
Au final, le top pour la dégradation et la limitation de l'impact visuel, c'est d'enterrer, la profondeur dépendant du type de sol, et de mélanger le papier à l'étron pour faire comme un compost (matière carbonée du papier et azotée du caca).
Le pire étant de mettre une pierre dessus, l'eau qui aiderait à la dégradation ne passe pas sous la pierre et bien souvent le dépôt sèche et met des plombes à disparaître.
Pour les plus "sensibles", on peut aussi ramener son papier et le mettre dans un sachet "merde de chien" et ensuite aux ordures incinérables.
Et quand on se balade beaucoup dans des réserves ou des chemins connus (imaginez le sentier Martel), c'est quand même nul de se retrouver face à un bout de papier rose qui orne un monticule brun... Non?
Autant faire ça du mieux possible!