Re: Mon projet de nano
Posté : ven. 05 janv. 2018 à 16:00
Ce serait vendeur comme script. Les carbonates de monoxyde de dihydrogène envahissent le monde... Méfiez-vous la fin est proche...
La poubelle façon d'aimer vos poissons ! 1er forum consacré à l'estive (en poubellarium), à l'aquariophilie naturelle & minimaliste, et à la microfaune aquatique
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Polluée à quoi, et en quoi serait-ce nocif pour les poissons ?
https://recuperation-eau-pluie.ooreka.f ... s-attendre
http://www.aquavalor.fr/qualite-eau-de-pluie/"L'eau de pluie recueillie subit la pollution due aux gaz circulant dans l'atmosphère et qui lui procurent une certaine acidité. Ces gaz peuvent être dû :
à la combustion des énergies fossile ;
à la circulation automobile procurant une quantité importante d'oxyde d'azote ;
à l'activité industrielle (combustions énergétiques qui dégagent du dioxyde de souffre) ;
aux activités agricoles qui ont tendance à émettre du nitrate d'ammoniac.
Des analyses sont effectuées très régulièrement dans les laboratoires pour connaître exactement la composition de l'eau de pluie. Celle-ci contient :
Du sulfate (SO4²) : molécule à base de souffre. Elle est contenue dans la plupart des produits, consommables ou non. La quantité moyenne de sulfate dans l'eau de pluie est de 9,5 mg/L.
Du calcium (CA²) : composant chimique très répandu qui contribue à la croissance des os. L'eau de pluie contient en moyenne 21 mg de calcium par litre.
Du potassium (K+) : élément chimique vital pour le fonctionnement des cellules animales. Sa quantité est de l'ordre de 0,8 mg/L.
Du chlorure (Cl-) : atome chargé d'électrons. L'eau de pluie est dosée à 9 mg/L.
Du sodium (Na+) : minéral indispensable à l'organisme. Sa valeur est estimée à 1,6 mg/L.
Du nitrate (NO3) : substance chimique provenant de la pollution. Le taux moyen est de 1,6 mg/L. Mais il peut atteindre localement jusqu'à 5 mg/L (régions fortement agricoles ou industrialisées)."
http://www.eautarcie.org/03b.html"Les gaz décrits ci-dessus circulent dans l’atmosphère, se dissolvent dans la vapeur d’eau et se transforment en acides. L’oxyde d’azote présent dans l’air forme de l’acide nitreux HNO2 et de l’acide nitrique HNO3. Le dioxyde de soufre produit de l’acide sulfureux H2SO3. Il s’oxyde ensuite dans l’air en acide sulfurique H2SO4. C’est ainsi que la pluie acquiert naturellement son caractère légèrement acide.
Le dioxyde de soufre (SO2) est émis principalement par la combustion énergétique et industrielle. Les oxydes d’azote (NOx) sont issus du transport routier et dans une moindre mesure de la production électrique et industrielle. L’ammoniac a quant à elle pour origine principale l’agriculture."
https://fr.wikipedia.org/wiki/Eau_pluviale"De nombreuses idées largement répandues à propos de la qualité de l'eau de pluie ne résistent pas à une analyse de laboratoire. Certains prétendent qu'il est abusif de parler de la « pureté » de l'eau de pluie à cause de la pollution atmosphérique qu'elle peut « laver » en se chargeant de pollution. Nous ne disons pas que l'eau de pluie est exempte de pollution. Elle est seulement moins polluée que l'écrasante majorité de l'eau qui se trouve dans la nature. C'est un fait analytique. Il ne faut pas oublier que la source primaire de toute eau douce sur la Terre est la pluie ou la neige. Sa pollution influencera donc la qualité de toute eau douce (donc non salée) naturelle.
Ainsi, avant d'arriver dans la citerne, cette eau subit évidemment la pollution atmosphérique. L'effet le plus spectaculaire de cette pollution est l'acidité.
Même sans pollution, en raison de sa teneur en dioxyde de carbone CO2 toujours présent dans l'atmosphère, la pluie est naturellement acide. A cette acidité naturelle s'ajoute l'acidité due à la présence d'oxydes d'azote NOx et du dioxyde de soufre SO2. Ces oxydes sont rejetés lors de la combustion des carburants fossiles (pétrole, charbon), surtout à haute température. Ces oxydes dissous dans l'eau deviennent des acides: l'oxyde d'azote formera de l'acide nitreux HNO2 et de l'acide nitrique HNO3, tandis que le dioxyde de soufre produira de l'acide sulfureux H2SO3 qui s'oxydera à l'air en acide sulfurique H2SO4.
Les pluies acides constituent une nuisance au niveau des forêts de conifères. Elles détériorent aussi les monuments en pierre calcaire. "
Et ce qui est certain, c'est que les crevettes détestent les métaux lourds.En France, les premières analyses d'eaux pluviales semblent avoir été faites à Paris, vers 18502. À cette époque, la pluie de Paris était chargée d'arsenic, issue de l'industrie et de la combustion du charbon et charbon de bois)2. Elle contenait aussi beaucoup d'ammoniac (retombée évaluée à 16 kg d'ammoniac par hectare et par an2) provenant sans doute de la dégradation de l'urine des chevaux et des parisiens (avant le « tout à l'égout »). Entre les deux guerres, les quantités de soufre (libéré par l'industrie, l'essence et le chauffage au charbon) ont fortement acidifié les pluies (environ 96 kg de soufre retombant par hectare et par an dans la pluie). Avec la médiatisation du phénomène de « pluies acides », un réseau d'observation et d'analyse s'est peu à peu mis en place, s'ouvrant localement à l'étude des retombées radioactives et des pesticides. Ce réseau national s'appuie sur 3 piliers2 :
réseau RENECOFOR de l'Office national des forêts (depuis 1982) ;
réseau Météo-France ;
réseau MERA (partenariat ministère de l'environnement - ADEME - École des mines de Douai).
Ce réseau dispose de 200 points de collecte, dans cinq régions (Nord-Pas-de-Calais, Midi-Pyrénées, Lorraine, Basse-Normandie, Champagne-Ardenne)[réf. souhaitée] où sont mesurés, dans les pluies, le pH, les nitrates, les sulfates, les chlorures, les ions ammonium, le calcium, le magnésium, le sodium, le potassium. Les métaux lourds et certains pesticides sont mesurés depuis 2002. Ces analyses ont montré de fortes variations, temporelles et régionales3.
Par exemple :
le pH moyen mensuel de la pluie était de 3,8 en Ardèche en 1996, à comparer à 7,8 dans les Alpes-Maritimes en 2000[réf. nécessaire] ;
la teneur en sulfates était en moyenne annuelle de 70 mg/m2/an en Haute-Vienne en 1991 alors qu'elle atteignait 1 050 dans les Pyrénées-Atlantiques en 1993[réf. nécessaire] ;
les retombées moyennes annuelles de nitrates dans la pluie étaient de 33 mg/m2/an en Haute-Vienne en 1991, mais de 640 mg/m2/an dans le Bas-Rhin en 1995[réf. nécessaire] ;
les retombées moyennes annuelles d'ions ammonium étaient de 94 mg/m2/an en Haute-Vienne en 1991, mais de 1 362 mg/m2/an dans la Nièvre en 1994[réf. nécessaire].
Le suivi des pluies est complémentaire de celui de la pollution de l'air, car certains gaz ou produits sont peu solubles dans l'eau et sont donc plutôt trouvés dans les « dépôts secs » captés sur une plaquette enduite d'un corps gras fixant les poussières ou dans des cartouches adsorbantes. Les « dépôts humides » sont captés par un collecteur disposant d'un étranglement limitant l'évaporation, et garni d'un couvercle mobile ne s'ouvrant (automatiquement) que quand il pleut.
On constate que l'eau de pluie a des caractéristiques bio-chimiques assez proches d'une eau potable et même bio-compatibles sans aucun traitement. Néanmoins, il existe une relative contamination de l'eau de pluie au contact de gaz (oxydes d’azote, de soufre), de particules souvent riches en matériaux lourds et des différents aérosols relâchés par les activités humaines.