Macropodus opercularis
- Nathaucarre
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Macropodus opercularis
Dilemne, dilemne.
J'ai "hérité" de deux opercularis de sexe opposé, jeunes, pas encore en couple et monsieur passe son temps à pourchasser madame depuis un peu plus d'une semaine. Ca semble s'être calmé ce matin.
Quel dommage que je n'aie pas su que Notho avait des ocellatus, j'aurais préféré ceux là et dit non aux opercularis. Mais bon, ils sont là.
Pour l'instant, en attendant les hausses de températures (le vent de ces derniers jours a tout refroidi), ils sont en bac chauffé (comme chez leur ancien proprio, à 24), vont peut être changer d'habitat entre temps si la sortie tarde....
Mais j'avoue que pour leur retour, le bac que je viens de leur trouver, un 54 l (40 nets d'eau) me parait petit et surtout pourrait trouver une autre popluation (on ne se refait pas, cinglée un jour...)
Alors, d'un, je me demande à partir de quelle température le matin je peux les sortir pour libérer de leur présence le bac et pouvoir y introduire les petits poissons prévus pour celui-ci et de l'autre, a germé une idée de cinglée que je suis pour l'hiver...
Rentrer leur poubelle dans la pièce du congélo, assez claire, isolée mais pas chauffée, donc température entre 12 et 15 en hiver....
Si je vide la moitié de l'eau fin d'été (c'est une 80 l qui va leur être dédiée), la poubelle est transportable.
Maintenant, comment gérer les changements d'eau, comment les nourrir ?
Suis je définitivement cinglée ou pas ?
J'ai "hérité" de deux opercularis de sexe opposé, jeunes, pas encore en couple et monsieur passe son temps à pourchasser madame depuis un peu plus d'une semaine. Ca semble s'être calmé ce matin.
Quel dommage que je n'aie pas su que Notho avait des ocellatus, j'aurais préféré ceux là et dit non aux opercularis. Mais bon, ils sont là.
Pour l'instant, en attendant les hausses de températures (le vent de ces derniers jours a tout refroidi), ils sont en bac chauffé (comme chez leur ancien proprio, à 24), vont peut être changer d'habitat entre temps si la sortie tarde....
Mais j'avoue que pour leur retour, le bac que je viens de leur trouver, un 54 l (40 nets d'eau) me parait petit et surtout pourrait trouver une autre popluation (on ne se refait pas, cinglée un jour...)
Alors, d'un, je me demande à partir de quelle température le matin je peux les sortir pour libérer de leur présence le bac et pouvoir y introduire les petits poissons prévus pour celui-ci et de l'autre, a germé une idée de cinglée que je suis pour l'hiver...
Rentrer leur poubelle dans la pièce du congélo, assez claire, isolée mais pas chauffée, donc température entre 12 et 15 en hiver....
Si je vide la moitié de l'eau fin d'été (c'est une 80 l qui va leur être dédiée), la poubelle est transportable.
Maintenant, comment gérer les changements d'eau, comment les nourrir ?
Suis je définitivement cinglée ou pas ?
Bonjour,
Ces macropodes ont besoin d'espace et ce sont des poissons qui sautent hors de l'eau pour fuir. Si la femelle ne trouve pas la place pour fuir le mâle dans le poubellarium, elle risque de se retrouver sur la pelouse. Il faudra peut-être mettre un filet pour prévenir les évasions.
Ils mangent de tout, mais apparemment ils sont surtout carnivores (crevettes, alevins, larves de moustiques, mais les croquettes sont bien aussi, ils ne sont pas obligés de courrir après).
Tu es sûr que l'autre poisson est bien une femelle ? A la CIL-ISBC, ils m'ont dit qu'il n'y avait que dans les bouquins que le dimorphisme était vrai.
Et s'ils font des petits, pense à moi. Je fomente également un projet poubellariophile grandiose. Mais pour l'instant ma mère me surveille...
[/quote]
Ces macropodes ont besoin d'espace et ce sont des poissons qui sautent hors de l'eau pour fuir. Si la femelle ne trouve pas la place pour fuir le mâle dans le poubellarium, elle risque de se retrouver sur la pelouse. Il faudra peut-être mettre un filet pour prévenir les évasions.
Ils mangent de tout, mais apparemment ils sont surtout carnivores (crevettes, alevins, larves de moustiques, mais les croquettes sont bien aussi, ils ne sont pas obligés de courrir après).
Tu es sûr que l'autre poisson est bien une femelle ? A la CIL-ISBC, ils m'ont dit qu'il n'y avait que dans les bouquins que le dimorphisme était vrai.
Et s'ils font des petits, pense à moi. Je fomente également un projet poubellariophile grandiose. Mais pour l'instant ma mère me surveille...
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- Nathaucarre
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Je savais, pour le filet. J'ai ce qu'il faut pour quand il seront sortis.
Pour l'alimentation, ce sont des voraces nés, une dizaine de grindals n'a pas fait peur un soir au mâle (impossible d'en donner à la femelle, il a tout boulotté un par un).
Tu peux ajouter les escargots au menu, m'ont bouffé une planorbe rouge (je n'en avais que 5) en une nuit, le temps que je me pose la question de "ils touchent aux escargots" ?, ma plus grosse, tant qu'à faire.
C'est la question de l'espace qui me fait penser au poub à l'année, mais dedans. Ce sera à l'intérieur que la question nourriture est plus délicate, trouver du pas trop polluant même si à priori, dans leur milieu naturel, ils vivent dans de l'eau immonde. A l'extérieur, ils auront de toute manière trop à manger une journée... et jeûneront jusqu'à la prochaine éclosion de moustiques.
Pour la sortie à l'année, l'ocellatus serait mieux... Maintenant, si tu veux des opercularis, pourquoi pas, mais on n'est pas un peu loin loin de l'autre ?
Pour le couple, je vais bien voir, c'est leur éleveur qui les a choisis, comme il a un couple, il est sensé savoir mieux que moi, je lui ai fait confiance. Ce soir, ils ont mangé ensemble, et la femelle a des attitudes de soumission que je voyais chez mes gouramis bleus, dans le temps. Le mâle prend de la couleur rouge entre les lignes de bleu, la femelle reste bleue et elle a les pelviennes plus courtes. Ils sont encore jeunes, ils ont 3-4 mois de tête (je les ai vus tous petits, ceux là avec leurs frères et soeurs). Si deux mâles, le pire est la cohabitation, ne pas avoir de jeunes ne me perturbe pas, ce sont des poissosn très peu connus et sans doute difficiles à caser.
J'ai la chance d'avoir les coudées franches que ce soit pour les aquas ou les poubs, au contraire, mon fils a tendance à en vouloir encore et encore, je dois le limiter. La seule limite est le porte monnaie peu rempli
Pour l'alimentation, ce sont des voraces nés, une dizaine de grindals n'a pas fait peur un soir au mâle (impossible d'en donner à la femelle, il a tout boulotté un par un).
Tu peux ajouter les escargots au menu, m'ont bouffé une planorbe rouge (je n'en avais que 5) en une nuit, le temps que je me pose la question de "ils touchent aux escargots" ?, ma plus grosse, tant qu'à faire.
C'est la question de l'espace qui me fait penser au poub à l'année, mais dedans. Ce sera à l'intérieur que la question nourriture est plus délicate, trouver du pas trop polluant même si à priori, dans leur milieu naturel, ils vivent dans de l'eau immonde. A l'extérieur, ils auront de toute manière trop à manger une journée... et jeûneront jusqu'à la prochaine éclosion de moustiques.
Pour la sortie à l'année, l'ocellatus serait mieux... Maintenant, si tu veux des opercularis, pourquoi pas, mais on n'est pas un peu loin loin de l'autre ?
Pour le couple, je vais bien voir, c'est leur éleveur qui les a choisis, comme il a un couple, il est sensé savoir mieux que moi, je lui ai fait confiance. Ce soir, ils ont mangé ensemble, et la femelle a des attitudes de soumission que je voyais chez mes gouramis bleus, dans le temps. Le mâle prend de la couleur rouge entre les lignes de bleu, la femelle reste bleue et elle a les pelviennes plus courtes. Ils sont encore jeunes, ils ont 3-4 mois de tête (je les ai vus tous petits, ceux là avec leurs frères et soeurs). Si deux mâles, le pire est la cohabitation, ne pas avoir de jeunes ne me perturbe pas, ce sont des poissosn très peu connus et sans doute difficiles à caser.
J'ai la chance d'avoir les coudées franches que ce soit pour les aquas ou les poubs, au contraire, mon fils a tendance à en vouloir encore et encore, je dois le limiter. La seule limite est le porte monnaie peu rempli
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mon couple opercularis a bel et bien une difference morpholoqiue sexuel, mais par contre pas quand ils sont tout jeune, ou je ne suis pas assez douer pour les reconnaitre.
si tu en cherche dit le moi, moi je cherche un couple d'ocellatus au cas ou...
si tu en cherche dit le moi, moi je cherche un couple d'ocellatus au cas ou...
Modifié en dernier par cess le sam. 28 mai 2011 à 10:01, modifié 1 fois.
- Nathaucarre
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Des ocellatus, que je cherche ? Oui, mais pour l'an prochain, quand je saurai si la cuve gèle entièrement ou pas.
Là, le sujet reste de trouver une solution à long terme pour les opercularis que j'ai de moins en moins envie de rentrer en aqua "standard" à la mauvaise saison.
Un couple d'opercularis, j'en auai peut être dans quelque temps Ca s'envoie, ces bestioles ? Suis hélas un peu loin de chez toi
Là, le sujet reste de trouver une solution à long terme pour les opercularis que j'ai de moins en moins envie de rentrer en aqua "standard" à la mauvaise saison.
Un couple d'opercularis, j'en auai peut être dans quelque temps Ca s'envoie, ces bestioles ? Suis hélas un peu loin de chez toi
- Nathaucarre
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Re: Macropodus opercularis
En ce qui concerne les opercularis, j'ai réussi plusieurs fois leur repro en extérieur (en bassin).
Le mâle faisait un nid de bulle systématiquement sous une feuille de nénuphar. Quand je voyais une feuille complètement surélevée par rapport aux autres, j'y avais droit. J'ai du sortir une cinquantaine de poisson à la fin de l'été, d'une taille de 3-4 cm pour les plus grands et moins de un pour les plus petits.
La difficulté en bassin, c'est de les récupérer. J'ai essayé avec une nasse mais je suis aperçu à mes dépends que les poissons capturés ne pouvaient plus aller respirer à la surface et mourraient. J'ai perdu ma femelle et quelques petits avec cette méthode . Ensuite, et bien j'ai joué de l'épuisette.
Le mâle faisait un nid de bulle systématiquement sous une feuille de nénuphar. Quand je voyais une feuille complètement surélevée par rapport aux autres, j'y avais droit. J'ai du sortir une cinquantaine de poisson à la fin de l'été, d'une taille de 3-4 cm pour les plus grands et moins de un pour les plus petits.
La difficulté en bassin, c'est de les récupérer. J'ai essayé avec une nasse mais je suis aperçu à mes dépends que les poissons capturés ne pouvaient plus aller respirer à la surface et mourraient. J'ai perdu ma femelle et quelques petits avec cette méthode . Ensuite, et bien j'ai joué de l'épuisette.
On se croirait devant un aquarium.
- Non, répondis-je, car l'aquarium n'est qu'une cage, et ces poissons-là sont libres comme l'oiseau dans l'air. Jules Verne
- Non, répondis-je, car l'aquarium n'est qu'une cage, et ces poissons-là sont libres comme l'oiseau dans l'air. Jules Verne
- mindar
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Re: Macropodus opercularis
piège à poissons aka bouteille coupée / retournée à demi émergéegael03 a écrit :En ce qui concerne les opercularis, j'ai réussi plusieurs fois leur repro en extérieur (en bassin).
Le mâle faisait un nid de bulle systématiquement sous une feuille de nénuphar. Quand je voyais une feuille complètement surélevée par rapport aux autres, j'y avais droit. J'ai du sortir une cinquantaine de poisson à la fin de l'été, d'une taille de 3-4 cm pour les plus grands et moins de un pour les plus petits.
La difficulté en bassin, c'est de les récupérer. J'ai essayé avec une nasse mais je suis aperçu à mes dépends que les poissons capturés ne pouvaient plus aller respirer à la surface et mourraient. J'ai perdu ma femelle et quelques petits avec cette méthode . Ensuite, et bien j'ai joué de l'épuisette.
mais c'est comme les suppositoires c’est pas obligatoire